Association loi 190
   
  Société Dunkerquoise d'Histoire et d'Archéologie
  Dunkirk Dynamo 1940
 

 


PRÉSENTATION DE
L'OUVRAGE


DUNKIRK DYNAMO
1940


 Considérant que le prochain tournage
d'une superproduction américaine consacrée à l'opération Dynamo, et ayant pour
réalisateur le prestigieux Christopher Nolan, portera une nouvelle fois l'image
de Dunkerque au plan international, la Société Dunkerquoise d'Histoire et
d'Archéologie a décidé d'accompagner cet événement médiatique majeur par une
publication originale. Outre son contenu inédit, celle-ci a pour but de faire
œuvre de pédagogie auprès du public français, sachant que l'opération Dynamo ne
figure plus dans les manuels scolaires.

  Le sommaire de cet ouvrage de 320
pages, largement illustré par des documents d'époque et vendu au prix de 20 €,
propose aux lecteurs :
 
                   
Une analyse inédite des opérations menées en
mai-juin 1940, en Hollande, en Belgique et en France par l'aviation française
(« Ceux qu'on n'a jamais vus » !) placée sous l'autorité des
Forces maritimes du Nord. Dans cette étude, son auteur Patrick Oddone, met
notamment l'accent sur le sacrifice des pilotes opérant à bord d'appareils
techniquement dépassés, confrontés à une aviation ennemie nettement plus
performante.

                   
Une vision transfrontalière de l'opération
Dynamo est offerte par une étude réalisée par Jean Poirriez, qui s'est attribué
la collaboration de chercheurs belges, pour analyser la participation de la
flottille des pêcheurs belges au rembarquement des troupes alliées en mai et
juin 1940.
                   
deux articles de l'historien Olivier Vermesch
consacrés à des thématiques spécifiques liées à l'opération Dunamo :
Le premier traite des « Échappées maritimes du 4 juin 1940 » (jour de
l'entrée des Allemands dans Dunkerque), décrivant comment des militaires
français ont tenté, avec l'énergie du désespoir, de s'extraire de la nasse de
Dunkerque, en utilisant des moyens maritimes dérisoires et périlleux, ne
possédant bien souvent sans aucune expérience de navigation. Cet article
reproduit en annexe la tentative infructueuse qui conduisit des soldats à se
réfugier sur l'épave du Scotia avant d'utiliser un radeau que les
courants marins emportèrent vers Petit-Fort-Philippe et une inexorable
captivité.  La seconde étude s'intéresse au
devenir des militaires blessés et du personnel soignant qui  n'ont pu embarquer. Deux témoignages
publiés en annexe décrivent les tragédies et les  souffrances de ces hommes dont le sort s'est scellé à l'hôpital
de Zuydcoote.
                   
Dans le prolongement de cette étude, est publié
le témoignage du docteur Philip Newman qui dirigeait l'unité médicale
britannique établie à Rosendaël au château Coquelle. Ce récit, particulièrement
poignant, décrit le fonctionnement de cette unité, les raisons pour lesquelles
elle dut rester sur le continent et fut conduite à la captivité.
                   
Le Corps expéditionnaire britannique fait
l'objet d'une attention toute particulière avec le récit de Maurice Valentin,
interprète et agent de liaison français ayant accompagné une unité britannique
en Belgique et dans sa retraite pour un embarquement à Dunkerque.

                   
Suit le témoignage d'un canonnier français dont
la batterie était implantée à l'Hippodrome de Malo-les-Bains, décrivant les
interventions désespérées de la DCA française contre une aviation allemande
maître du ciel dunkerquois, ainsi que les souffrances de la population civile
côtoyée par ce combattant.
                   
Pour conclure, est publié le court témoignage
d'un militaire français ayant échappé à « l'Enfer de Dunkerque » et
revenu en France après un accueil chaleureux en Angleterre.

 


           


 
 
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